Comment gérer et optimiser les flux logistiques ?

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Pour pouvoir délivrer un service qui soit de qualité, une entreprise doit pouvoir montrer de l’efficacité dans la gestion des commandes de ses clients. En respectant les délais convenus et en mettant à disposition de sa clientèle des produits en adéquation avec ses attentes, une marque s’assure la fidélité de ses clients. L’ensemble des procédés visant à ce résultat relève de la bonne gestion des flux logistiques. Alors, comment optimiser ce secteur ?

Gestion d’entrepôt : une solution logistique indispensable

Gérer les flux logistiques signifie organiser efficacement et contrôler les mouvements et le transport des produits et des personnes au sein d’une entité. Dès lors, le principe d’une bonne gestion de ces acteurs de la production repose sur leur circulation optimale dans l’entreprise. Pour y parvenir, il existe des techniques assurant une meilleure exploitation des transports, de l’approvisionnement, de la manutention et des livraisons.

Elles supposent entre autres une programmation adéquate du fonctionnement des machines ainsi qu’une veille permanente pour éviter tout gaspillage. Pour avoir des chances d’être rentable, une entreprise doit s’atteler à limiter les stocks et les opérations inutiles ainsi que les pertes de temps dans le processus de production. L’objectif premier de la démarche étant de parvenir à respecter les coûts et les délais. Ce sont des problématiques auxquelles des entreprises telles que Isitec essaient d’apporter des solutions.

L’utilité de la gestion des flux

L’optimisation des flux logistiques constitue la condition sine qua non à une parfaite gestion d’un entrepôt. En pilotant convenablement l’ensemble des étapes allant de la production à la distribution, une société pourra récolter des avantages certains. Parmi eux, celui de pouvoir cibler dans sa chaîne d’activité les gaspillages et toute allocation inefficace des ressources. La structure pourra alors envisager une action corrective de façon à réduire au maximum ces secteurs de dépense tout en réattribuant de manière optimale les ressources à sa disposition.

flux logistique

La gestion d’entrepôt rend également possible la définition des branches à valeur ajoutée et sans valeur ajoutée. Les principales défaillances qui peuvent apparaître relèvent habituellement d’une surproduction, de stocks inadaptés, de défauts de fabrication et de mouvements superflus. Nombre de sites traitent de l’importance de la démarche et mettront un point d’honneur à mettre en avant l’importance cruciale d’une telle gestion.

Différents types de flux

Outre les flux inhérents à la production, la gestion d’un entrepôt s’intéresse également aux flux logistiques en externe, qu’ils surviennent au niveau de l’approvisionnement ou de la distribution. Les opérations entrant en ligne de compte sont alors principalement la manutention, le stockage, l’emballage et la livraison. En fonction du mode d’approvisionnement, il est possible de déterminer différentes formes de flux.

Les flux dits tirés renvoient au déclenchement de la fabrication suite à la survenue d’une commande et supposent qu’il y a zéro stock. Les flux tendus allient la logique des flux tirés aux apports d’un stock de sécurité pour pouvoir répondre aux besoins des clients. Pour pouvoir lancer la fabrication d’un produit, il faut que les matières premières soient à portée de main avant d’être stockées. Cette méthode peut cependant déboucher sur du surstockage ou une pénurie en raison de l’absence totale de connexion entre production et demande. Il s’agit ici de flux poussés.

Les stratégies pour optimiser le secteur logistique

Une entreprise doit privilégier une certaine méthodologie pour réussir à optimiser son secteur logistique. Elle débute généralement par la formalisation des objectifs à atteindre pour que chaque acteur de la « supply chain » ait en tête la stratégie à adopter. Pour être réellement efficace, il est préférable d’assigner cette tâche à un responsable chaîne logistique qui se chargera d’ajuster le processus de production pour parvenir à un standard de qualité au niveau du fonctionnement de l’entreprise. Le risque zéro n’existant pas, ce responsable devra mettre en place des mesures préventives afin de limiter la casse en cas de problème. Pour ce faire, il s’appliquera à entretenir une relation de confiance avec les acteurs des différentes branches de la chaîne d’activité.

Par ailleurs, une société doit envisager de rester compétitive en intégrant des outils de gestion modernes à ses procédés de fabrication. En misant sur le numérique, elle pourra ainsi coordonner tous ses outils et fluidifier les transferts de données à différents niveaux de la supply chain. Il existe à ce jour des logiciels très efficaces qui produisent des résultats appréciables en ce sens, n’hésitez pas à vous renseigner.

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